Sénégal – onzième jour : baobab, coquillage et retour

Ce matin direction le plus large babobab du monde, du Sénégal, euh… Bon, direction un baobab très large, et très creux, comme on l’apprendra ensuite c’est courant chez les baobabs…

Un trou permet de rentrer dedans, grâce à mes 8 ans d’entraînement dans un cirque chinois j’y arrive sans trop de problème. Elodie, elle, préfère rester dehors, son excuse ? Elle va prendre une photo de mon exploit 😉

Ensuite direction l’île aux coquillage : une île uniquement constituée de coquillages amassés au fil des années par les villageois. L’île s’étend d’année en année et à marrèe basse des tournois de foot sont organisés entre la côte et la plage, les supporters se plaçant sur la passerelle pour manifester leur support à leurs favori.

L’île est très sympathique et un guide nous emmène dans ses ruelles pour nous montrer la vie des villageois, le marché, l’arbre sacré, la place à palabre, bref, ce que l’on a déjà vu dans d’autres villages, mais sur des coquillages ce coup-ci…

Petites particularités amusantes : les vendeurs ont décidés de donner des noms de supermarchés français à leurs boutiques, un clin d’œil à touriste assez amusant.

Autres points forts de la visite : le cimetière chrétien-musulman, deux religions très présentes au Sénégal et qui vive en bon accord, nous avons souvent vu dans les villages des églises ou des mosquées cohabitant sans problème. Ici ça continue même dans la mort, une île faite de coquillage également sert de cimetière et les corps sont « mis en coquillages » (désolé) entre les baobabs, un endroit assez joli pour y passer l’éternité.

Une fois la visite terminée : direction Dakar, Yakhya et notre chauffeur nous raccompagne, à part une petite crevaison en route le voyage se passe bien et on arrive à Dakar pour retrouver la petite famille N’Diaye… On passera la soirée avec eux, sans électricité, évidemment.

Une boucherie en bord de route, sympa hein ?

shigaepouyen

Aventurier à l'Opinel, mono-maniaque à temps partiel, chef de projet mobile le reste du temps.

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